Lauréat du prix Médicis 2015
Lauréat du prix Goncourt de l’Orient 2015
Finaliste des prix Goncourt et Femina
« Titus n’aimait pas Bérénice alors que Bérénice pensait qu’il l’aimait. Titus est empereur de Rome, Bérénice, reine de Palestine. Ils vivent et s’aiment au Ier siècle après Jésus-Christ. Racine, entre autres, raconte leur histoire au XVIIe siècle. Mais cette histoire est actuelle : Titus quitte Bérénice dans un café. Dans les jours qui suivent, Bérénice décide de revenir à la source, de lire tout Racine, de chercher à comprendre ce qu’il a été, un janséniste, un bourgeois, un courtisan. Comment un homme comme lui a-t-il pu écrire une histoire comme ça? Entre Port-Royal et Versailles, Racine devient le partenaire d’une convalescence où affleure la seule vérité qui vaille : si Titus la quitte, c’est qu’il ne l’aime pas comme elle l’aime. Mais c’est très long et très compliqué d’en arriver à une conclusion aussi simple. »







🎧 Livre disponible en version audio
Titus n’aimait pas Bérénice (Juin 2016)
Lu par Elsa Lepoivre de la Comédie Française
Durée d’écoute : environ 7 h
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#LibrairieMollat Titus n’aimait pas Bérénice
Septembre 2015
Nathalie Azoulai vous présente son ouvrage Titus n’aimait pas Bérénice aux Éditions POL.
Présentation Titus n’aimait pas Bérénice
Août 2015
Entretien avec Nathalie Azoulai, autour de son dernier ouvrage Titus n’aimait pas Bérénice
France Info – Le livre du jour Titus n’aimait pas Bérénice Octobre 2018
Le très grand auteur de tragédies Jean Racine sera toujours d’actualité. C’est ce que rappelle Nathalie Azoulai dans son nouveau roman.
Presse
Télérama– Septembre 2015
« Pour conjurer sa peine, une femme quittée plonge à coeur perdu dans l’oeuvre de Racine. Une transposition ardente de la tragédie de Bérénice. »
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La Croix– Septembre 2015
« De l’esthétique minimaliste, à la mode il y a quelques années, ce que les Italiens ont appelé « l’art pauvre », Nathalie Azoulai se sert avec brio aux premières pages de ce roman et en reprend les constantes : immédiateté des choses, proximité dans un présent continu, refus de la profondeur et de la mémoire. »
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Le Figaro– Octobre 2015
« Nathalie Azoulai puise dans la tragédie du dramaturge et poète français pour mieux comprendre un chagrin d’amour. »
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Le Nouvel Obs – Octobre 2015
« Titus et Bérénice sont deux amants actuels. Titus est marié et ne veut pas divorcer pour Bérénice. Alors ils se quittent. Un jour, au plus fort de son chagrin, l’amoureuse abandonnée entend un vers de « Bérénice » (la pièce): « Dans l’Orient désert quel devint mon ennui !« »
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Le Monde – Novembre 2015
« Elle imagine comment Racine a réussi à devenir « l’endroit où le masculin s’approche au plus près du féminin » en inventant des sortes de séances de confession, sans dimension religieuse, où des femmes racontent au grand homme les effets sur elle du chagrin amoureux… »
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Libération– Novembre 2015
« On peut ne pas aimer tel ou tel des auteurs primés, force est de reconnaître que le jeu des influences éditoriales, s’il agit toujours ici ou là, n’a favorisé aucun intrus. En l’espèce, il a primé jeudi le texte élégant, assoiffé de pureté de Nathalie Azoulai. »
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Madame Figaro – Novembre 2015
« En toute discrétion, Nathalie Azoulai remporte le prix Médicis pour son roman au titre provocateur, Titus n’aimait pas Bérénice. Avec liberté et légèreté, elle dépoussière un monument de la littérature et séduit les foules. »
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Huffington Post – Février 2016
« Pénétrer les mystères du style racinien est une difficulté qui ne décourage pas Nathalie Azoulai. La beauté d’un vers choisi presqu’au hasard dans Bérénice est moins énigmatique pour qui conserve en mémoire la concision du latin : « Je l’aime, je le fuis ; Titus m’aime, il me quitte. » »
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Les Echos – Novembre 2015
« La romancière a puisé son inspiration dans l’oeuvre de Racine et s’est immergée dans le Grand Siècle de Louis XIV pour écrire ce livre néanmoins très contemporain sur un chagrin d’amour. »
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L’Express– Novembre 2015
« Elle fait mine de s’en moquer – « Racine, c’est le supermarché du chagrin d’amour » – avant de s’interroger sur cet homme « qui a su si bien décrire l’amour des femmes », et n’a écrit que 12 pièces. La voici donc qui s’immerge dans la vie et l’oeuvre de « ce bourgeois de province », orphelin très jeune, élevé dans la rigueur janséniste de Port-Royal, dévoué à Dieu avant tout. »
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Le Temps – Février 2019
« Nathalie Azoulai use de la langue, de l’alexandrin comme d’une ossature, d’une colonne vertébrale qui soutient et redresse les chagrins, qui les organise, les installe dans un rythme, dans une scansion consolatrice. Versification, allitérations, hypotypose, oxymores! »
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Le Temps – Novembre 2015
« Nathalie Azoulai s’empare des tragédies et de la langue de l’auteur de « Titus et Bérénice ». Elle y puise une force contemporaine, troublante, romanesque. Entretien. »
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Le Devoir – 10 octobre 0215
« Ces belles pages à saveur d’essai portent sur Racine, et c’est Bérénice, notre contemporaine éplorée, qui raconte. (…) Très littéraire, ce roman ravira des lecteurs épris d’histoire et de cet aride XVIIe siècle à vocation intemporelle, comme l’exigeait le Roi-Soleil. »
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La Provence – Mars 2016
« Un seul être vous quitte et tout est dépeuplé… Voilà qui pourrait servir de maxime de vie à Bérénice, femme moderne et brisée par l’abandon de Titus, son amant, qui, retournant chez son épouse, la laisse meurtrie, désemparée avec un certain dégoût de soi. »
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Le Progrès – Mai 2016
« Ce roman, comme un livre dans le livre, est surtout prétexte à saisir l’intime du tragédien, la vie de ce génie, sensuel et intrigant, torturé pas ses doutes et ses faiblesses. »
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L’Orient Littéraire – Mars 2016
« Azoulai trouve les mots appropriés pour parler de l’alexandrin, du rapport de la tragédie et de l’amour, de la syntaxe singulière de Racine. Elle pose en plus d’un endroit la question du génie féminin de Jean. Surtout elle réussit une architecture du roman faite de symétrie et de dissymétrie pour clore par le rangement simultané des livres et la fin du chagrin d’amour. »
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Le Magazine Littéraire– Décembre 2015
« Avec Titus n’aimait pas Bérénice, Nathalie Azoulai annonce le programme dès le titre, quoique de manière elliptique. Une histoire personnelle s’y noue à une histoire de théâtre. Mais une seule pièce et un seul auteur sont privilégiés. Bérénice et Racine. »
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ActuaLitté– Décembre 2015
« L’originalité de Nathalie Azoulai est de se faire Racine tout court, afin d’interroger cette obscurité des passions et de frôler la clarté de la langue qui en rend compte… »
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Le Cercle Littéraire FNAC – Août 2016
« Un scénario percutant, un style magnifique, un roman que l’on dévore. »
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Travaux académiques

Le Petit Littéraire, Fiche de lecture : Titus n’aimait pas Bérénice de Nathalie Azoulai – Mars 2016
Dans cette fiche de lecture sur Titus n’aimait pas Bérénice (2016), avec Danny Dejonghe, nous fournissons des pistes pour décoder cette biographie romancée de Jean Racine. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l’œuvre et d’aller au-delà des clichés – Laure Delacroix
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Colloque international organisé par le Cérédi (Université de Rouen) et la Société des Amis de Port-Royal
En novembre 2020, Bérénice aura 350 ans. C’est en novembre 1670 en effet que Racine transforma la scandaleuse reine juive dont les historiens anciens nous avaient laissé le portrait, en une amante sublime et résignée, héroïne du renoncement, digne par son sacrifice de rejoindre la galerie des grandes amoureuses de la littérature.
« Titus aimait-il Bérénice ? » Table ronde en présence de Nathalie Azoulai, romancière, autrice du roman Titus n’aimait pas Bérénice, P.O.L. (prix Médicis 2015), animée par Caroline Labrune
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Fabula, L’âge classique dans les fictions du XXIe siècle – Mars 2016
Racine, “un supermarché du chagrin d’amour”. Nathalie Azoulai et la critique racinienne
Au début du roman que Nathalie Azoulai a publié en 2015 sous le titre Titus n’aimait pas Bérénice, un homme, Titus, quitte son amante, Bérénice : « Titus aime Bérénice et la quitte. / Titus quitte Bérénice pour ne pas quitter Roma, son épouse légitime […] »
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